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Parfois, je pense à des trucs, et parfois, je les écris.

Quand ça arrive, je mets ce que j’ai écrit ici.

Ce que les retours sur mon travail m’ont appris jusqu’ici

Les commentaires relatifs à mon travail ont suscité chez moi quelques réflexions sur la manière dont j’aborde les œuvres en tant que spectateur, joueur et lecteur.

J’ai tout naturellement décidé de les partager ici.

Les voyages dans le temps : le scénariste imprudent

Je vais ici monter un cheval de bataille que j’affectionne tout particulièrement : fortement déconseiller d’écrire des fictions faisant intervenir un ou plusieurs voyages dans le temps.

Nous allons nous pencher en premier lieu sur les incohérences qui sont nécessairement soulevées par le fait de voyager dans le temps, puis par les tentatives de rattraper ces incohérences — qui ne peuvent malheureusement pas marcher non plus. Enfin, nous parlerons du problème majeur d’un point de vue dramatique : la destruction des enjeux. Je terminerai sur une note positive, parce que c’est plus sympa.

De l’importance du thème

 

Penchons-nous aujourd’hui sur un enjeu majeur de l’écriture de scénario : l’importance du thème de votre récit. Le thème d’un récit est sa colonne vertébrale, pourtant beaucoup d’auteur.ices — plus ou moins expérimenté.es — ont tendance à s’en soucier tard, voire à ne pas s’en soucier. Nous allons voir ici pourquoi c’est — à mon sens — une erreur.

Nous commencerons par définir de quoi on parle exactement, à l’aide d’un exemple utile mais pas très intéressant. Suite à quoi nous discuterons plus largement de l’importance vitale des thèmes et messages dans la fiction. Enfin nous conclurons en observant quelques conseils concrets d’écriture, pour ne pas être trahi par son thème, ni le sous-exploiter.

Faire des fautes

 

Faisons un point sur un sujet épineux : l’orthographe, la syntaxe, la grammaire… Le « bon français » de manière générale.

Les fautes de français sont source d’anxiété chez nombre de jeunes auteur.ices et source d’agacement chez nombre de lecteur.ices de tous âges. Certain.es d’entre vous en font certainement beaucoup, d’autres n’en font pas, certain.es disent qu’en voir leur fait mal aux yeux, et d’autres s’en moquent…

Aujourd’hui, posons-nous la question : faire des fautes, est-ce si grave ?

High concept : forces et faiblesses

 

Qu’est-ce qu’un high concept ? Quels sont ses mérites ? Quels sont ses pièges ? Nous allons voir ça dans le détail.

Mémoire de fin d’études : Super-pouvoirs, magie et bévues scénaristiques

 

Les univers de fiction dont les personnages sont doués de superpouvoirs ou de pouvoirs magiques se multiplient sur nos écrans depuis quelques années. Nombre de ces univers donnent lieu à des sagas, voire à des univers étendus dont les multiples films sont tous connectés. Ces films nous donnent à voir un monde qui est souvent très semblable au nôtre, à quelques exceptions près. Nous allons voir ici à quel point ces exceptions bouleversent les règles de notre monde et les remettent en question, au point parfois de faire perdre ses repères au spectateur, et comment les nouvelles règles instaurées par la fiction peuvent être contradictoires ou floues. Nous verrons comment ces mondes fictifs sont organisés autour de ces nouvelles règles, et comment les auteurs font en sorte qu'elles s'intègrent au mieux aux règles préexistantes — parfois avec succès, parfois en créant des incohérences.

Mémoire de fin d’études : Peur et douleur à l’écran

 

La violence est sur tous les écrans. Dans les salles de cinéma comme dans nos postes de télévision, les litres d'hémoglobines et de larmes se déversent à torrent, réveillant régulièrement un débat tout juste assoupi : est-il acceptable de tout montrer ? Et plus important encore, est-ce dangereux ?

Note : Les mémoires présentés ici ont été rédigés à la fin de trois années d’étude dans une école privée, il n’est absolument pas question de prétendre à la qualité ni à la rigueur d’un mémoire universitaire de master.

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